Léa Seydoux: 5 things to know about the star of Dune II and The Beast
À 38 ans, la sublime, énigmatique et talentueuse Léa Seydoux est l’une des actrices les plus demandées du cinéma français (et étranger). Après avoir joué dans deux projets majeurs, Dune, deuxième partie de Denis Villeneuve et La Bête de Bertrand Bonello, elle est au Festival de Cannes ce mardi 14 mai 2024 pour défendre le film Le Deuxième acte de Quentin Dupieux. L’occasion de revenir sur les aspects les plus méconnus de sa vie et de sa carrière.
by Violaine Schütz.
by Violaine Schütz.
Léa Seydoux didn’t always envision a career in acting
Although her family is directly linked to the seventh art’s industry, the French star didn’t always want to become an actress. As a shy kid, Léa Seydoux envisioned a career as an opera singer. The woman who, in the 2000s, flashed her breasts on camera in a campaign for American Apparel didn’t dream of becoming an actress when she was younger. The melancholic heroine of Christophe Honoré’s 2008 film The Beautiful Person – starring French Prime Minister Gabriel Attal – has shared in several interviews, including one with W Magazine, that it was after she fell in love with an actor that she decided to be on screen. She found his life incredible and wanted to live a similar experience.
It was also to seduce him that she got it into her head to do the same job as him. In the end, she didn’t get involved with the (unnamed) actor, but one can argue that she got her sweet revenge by becoming far more famous than he was. In a recent interview with Télérama, the actress declared: “It’s a fairly recent idea for me to finally accept myself as an actress.” Today, the magnetic Léa Seydoux can boast of starring in films directed by Rebecca Zlotowski, Benoît Jacquot, Xavier Dolan, Bruno Dumont, and Arnaud Desplechin, with roles that are often troubled and always troubling…
Léa Seydoux n’a pas toujours voulu être actrice
Si sa famille est connectée au septième art, la star française (ex-timide) Léa Seydoux n’a pas pour autant toujours voulu être actrice, mais plutôt chanteuse d’opéra. Celle qui, dans les années 2000, posait, poitrine apparente, pour la marque American Apparel ne rêvait pas d’être comédienne, plus jeune. L’héroïne au regard mélancolique de La Belle Personne (2008) de Christophe Honoré (dans lequel a joué Gabriel Attal) a en effet confié dans plusieurs interviews, notamment pour le W Magazine, que c’était en tombant amoureuse d’un acteur qu’elle avait eu envie d’être à l’écran. Elle trouvait sa vie incroyable et désirait avoir la même.
C’est également pour le séduire qu’elle s’est mise en tête de faire le même métier que lui. Finalement, elle ne fréquenta pas ce comédien (dont on ignore le nom), mais il y a fort à parier qu’elle se soit vengée en devenant bien plus célèbre que lui. Récemment, dans une interview accordée à Télérama, la comédienne déclarait : “C’est assez récent l’idée que je m’accepte comme actrice.” Dans son palmarès, la magnétique Léa Seydoux compte aujourd’hui des films de Rebecca Zlotowski, Benoît Jacquot, Xavier Dolan, Bruno Dumont ou encore Arnaud Desplechin (Roubaix, une lumière). Et des rôles souvent troubles… Et toujours troublants.
Léa Seydoux didn’t always envision a career in acting
Although her family is directly linked to the seventh art’s industry, the French star didn’t always want to become an actress. As a shy kid, Léa Seydoux envisioned a career as an opera singer. The woman who, in the 2000s, flashed her breasts on camera in a campaign for American Apparel didn’t dream of becoming an actress when she was younger. The melancholic heroine of Christophe Honoré’s 2008 film The Beautiful Person – starring French Prime Minister Gabriel Attal – has shared in several interviews, including one with W Magazine, that it was after she fell in love with an actor that she decided to be on screen. She found his life incredible and wanted to live a similar experience.
It was also to seduce him that she got it into her head to do the same job as him. In the end, she didn’t get involved with the (unnamed) actor, but one can argue that she got her sweet revenge by becoming far more famous than he was. In a recent interview with Télérama, the actress declared: “It’s a fairly recent idea for me to finally accept myself as an actress.” Today, the magnetic Léa Seydoux can boast of starring in films directed by Rebecca Zlotowski, Benoît Jacquot, Xavier Dolan, Bruno Dumont, and Arnaud Desplechin, with roles that are often troubled and always troubling…
Léa Seydoux n’a pas toujours voulu être actrice
Si sa famille est connectée au septième art, la star française (ex-timide) Léa Seydoux n’a pas pour autant toujours voulu être actrice, mais plutôt chanteuse d’opéra. Celle qui, dans les années 2000, posait, poitrine apparente, pour la marque American Apparel ne rêvait pas d’être comédienne, plus jeune. L’héroïne au regard mélancolique de La Belle Personne (2008) de Christophe Honoré (dans lequel a joué Gabriel Attal) a en effet confié dans plusieurs interviews, notamment pour le W Magazine, que c’était en tombant amoureuse d’un acteur qu’elle avait eu envie d’être à l’écran. Elle trouvait sa vie incroyable et désirait avoir la même.
C’est également pour le séduire qu’elle s’est mise en tête de faire le même métier que lui. Finalement, elle ne fréquenta pas ce comédien (dont on ignore le nom), mais il y a fort à parier qu’elle se soit vengée en devenant bien plus célèbre que lui. Récemment, dans une interview accordée à Télérama, la comédienne déclarait : “C’est assez récent l’idée que je m’accepte comme actrice.” Dans son palmarès, la magnétique Léa Seydoux compte aujourd’hui des films de Rebecca Zlotowski, Benoît Jacquot, Xavier Dolan, Bruno Dumont ou encore Arnaud Desplechin (Roubaix, une lumière). Et des rôles souvent troubles… Et toujours troublants.
The actress comes from a well-known family in the film industry
Her surname may not ring a bell to those who don’t follow her, but Léa Seydoux comes from a powerful clan in the seventh art. She is the granddaughter of producer Jérôme Seydoux, owner of the major European film production and distribution company Pathé (The Three Musketeers diptych), whose fortune was estimated at 1.4 billion euros in 2023, and the great-niece of Nicolas Seydoux, Chairman of the Supervisory Board of the French studios Gaumont.
In an interview with Deadline, the actress explained her status: “I come from this family deeply rooted in the cultural industry, yet I was completely sidelined as a child. I was an outcast, with very bad grades at school, and I’ve always felt a bit like an orphan, who doesn’t fit into any box.”
L’actrice vient d’une famille connue dans le milieu du cinéma
Si son nom de famille n’évoquera rien à ceux qui ne suivent pas, Léa Seydoux vient d’un clan phare du septième art en France. Elle est en effet la petite-fille du producteur Jérôme Seydoux, patron de Pathé (le diptyque Les Trois Mousquetaires) dont la fortune était estimée en 2023 à 1,4 milliard d’euros, et la petite nièce de Nicolas Seydoux, président du conseil de surveillance de Gaumont.
Lors d’un entretien pour le média Deadline, l’actrice a confié : « Je viens de cette famille du monde de la culture mais quand j’étais petite, j’étais complètement mise de côté. J’étais une marginale, très mauvaise à l’école, et je me suis toujours sentie un peu comme une orpheline, qui ne rentre dans aucune case. »
The actress comes from a well-known family in the film industry
Her surname may not ring a bell to those who don’t follow her, but Léa Seydoux comes from a powerful clan in the seventh art. She is the granddaughter of producer Jérôme Seydoux, owner of the major European film production and distribution company Pathé (The Three Musketeers diptych), whose fortune was estimated at 1.4 billion euros in 2023, and the great-niece of Nicolas Seydoux, Chairman of the Supervisory Board of the French studios Gaumont.
In an interview with Deadline, the actress explained her status: “I come from this family deeply rooted in the cultural industry, yet I was completely sidelined as a child. I was an outcast, with very bad grades at school, and I’ve always felt a bit like an orphan, who doesn’t fit into any box.”
L’actrice vient d’une famille connue dans le milieu du cinéma
Si son nom de famille n’évoquera rien à ceux qui ne suivent pas, Léa Seydoux vient d’un clan phare du septième art en France. Elle est en effet la petite-fille du producteur Jérôme Seydoux, patron de Pathé (le diptyque Les Trois Mousquetaires) dont la fortune était estimée en 2023 à 1,4 milliard d’euros, et la petite nièce de Nicolas Seydoux, président du conseil de surveillance de Gaumont.
Lors d’un entretien pour le média Deadline, l’actrice a confié : « Je viens de cette famille du monde de la culture mais quand j’étais petite, j’étais complètement mise de côté. J’étais une marginale, très mauvaise à l’école, et je me suis toujours sentie un peu comme une orpheline, qui ne rentre dans aucune case. »
Léa Seydoux is one of the few James Bond Girls who appeared twice the series of films
In addition to being one of the greatest stars of French cinema, Léa Seydoux has also seduced international audiences. Louis Vuitton’s muse embodies the French touch and elegance all around the world. She starred in Quentin Tarantino’s Inglourious Basterds (2009), Ridley Scott’s Robin Hood (2010) and Brad Bird’s Mission: Impossible – Ghost Protocol (2011). She has also appeared in features directed by Woody Allen (Midnight in Paris in 2011), Wes Anderson (The French Dispatch in 2021), David Cronenberg (Crimes of the Future in 2022) and Yórgos Lánthimos (The Lobster in 2015).
But international audiences know her best for her performances in two James Bond films – Spectre (2015) and No Time to Die (2021) alongside Daniel Craig. She even went down in the history of the franchise thanks to her role as Madeleine Swann, a psychologist, who she played twice. Aside from British actress Eunice Gayson in the 1960s, few actresses have played the same role twice in a row in any James Bond films. For the producers, this choice is linked to Léa Seydoux’s “inimitable charm”.
Léa Seydoux est l’une des rares James Bond Girls à être apparue deux fois dans un film de la franchise
En plus d’être l’une des grandes stars du cinéma français, abonnées aux beaux rôles, Léa Seydoux a aussi séduit l’étranger. L’égérie Louis Vuitton incarne le french touch et le chic hexagonal dans le monde entier. On l’a vue dans le film Inglourious Basterds (2009) de Quentin Tarantino, dans Robin des Bois (2010) de Ridley Scott ou encore Mission impossible : Protocole Fantôme (2011) de Brad Bird. Elle a aussi joué dans des longs-métrages de Woody Allen (Minuit à Paris en 2011), Wes Anderson (The French Dispatch en 2021), David Cronenberg (Les Crimes du futur en 2022) ou encore Yórgos Lánthimos (The Lobster en 2015).
Mais les spectateurs – en dehors de la France – la connaissent surtout pour sa performance dans deux films James Bond : dans Spectre (2015) et Mourir peut attendre (2021), face à Daniel Craig. En incarnant deux fois la psychologue Madeleine Swann, elle est même entrée dans l’histoire de la saga. En effet, à part l’actrice britannique Eunice Gayson dans les années 1960, peu de comédiennes ont tenu le même rôle dans deux James Bond d’affilée. Pour les producteurs des films, ce choix est lié au « charme impossible à reproduire » de Léa Seydoux.
Léa Seydoux is one of the few James Bond Girls who appeared twice the series of films
In addition to being one of the greatest stars of French cinema, Léa Seydoux has also seduced international audiences. Louis Vuitton’s muse embodies the French touch and elegance all around the world. She starred in Quentin Tarantino’s Inglourious Basterds (2009), Ridley Scott’s Robin Hood (2010) and Brad Bird’s Mission: Impossible – Ghost Protocol (2011). She has also appeared in features directed by Woody Allen (Midnight in Paris in 2011), Wes Anderson (The French Dispatch in 2021), David Cronenberg (Crimes of the Future in 2022) and Yórgos Lánthimos (The Lobster in 2015).
But international audiences know her best for her performances in two James Bond films – Spectre (2015) and No Time to Die (2021) alongside Daniel Craig. She even went down in the history of the franchise thanks to her role as Madeleine Swann, a psychologist, who she played twice. Aside from British actress Eunice Gayson in the 1960s, few actresses have played the same role twice in a row in any James Bond films. For the producers, this choice is linked to Léa Seydoux’s “inimitable charm”.
Léa Seydoux est l’une des rares James Bond Girls à être apparue deux fois dans un film de la franchise
En plus d’être l’une des grandes stars du cinéma français, abonnées aux beaux rôles, Léa Seydoux a aussi séduit l’étranger. L’égérie Louis Vuitton incarne le french touch et le chic hexagonal dans le monde entier. On l’a vue dans le film Inglourious Basterds (2009) de Quentin Tarantino, dans Robin des Bois (2010) de Ridley Scott ou encore Mission impossible : Protocole Fantôme (2011) de Brad Bird. Elle a aussi joué dans des longs-métrages de Woody Allen (Minuit à Paris en 2011), Wes Anderson (The French Dispatch en 2021), David Cronenberg (Les Crimes du futur en 2022) ou encore Yórgos Lánthimos (The Lobster en 2015).
Mais les spectateurs – en dehors de la France – la connaissent surtout pour sa performance dans deux films James Bond : dans Spectre (2015) et Mourir peut attendre (2021), face à Daniel Craig. En incarnant deux fois la psychologue Madeleine Swann, elle est même entrée dans l’histoire de la saga. En effet, à part l’actrice britannique Eunice Gayson dans les années 1960, peu de comédiennes ont tenu le même rôle dans deux James Bond d’affilée. Pour les producteurs des films, ce choix est lié au « charme impossible à reproduire » de Léa Seydoux.
She spoke about the difficult shooting of “Blue is the Warmest Colour”
As part of the #MeToo movement that liberates women’s speech, Léa Seydoux had already mentioned the frightening persona of Harvey Weinstein in The Guardian. But she also shared how trying the shooting of Blue is the Warmest Colour (2013) was both for her and her co-star Adèle Exarchopoulos, who both won the Palme d’Or at the Cannes Film Festival for their respective performances.
In 2018, in the columns of Elle Magazine, the discreet French star explained: “Five years ago, when I said that Adèle [Exarchopoulos] and I had been mistreated on the set of Blue is the Warmest Colour, well-known actresses criticized me and advised us to shut up if we had any hope of having a career in the industry. Abdellatif Kechiche immediately shifted the main issue to make it look like a social class disagreement – if I complained, it was because I was part of the bourgeoisie, because I was a spoiled little girl… It’s unbearable! There’s no justification for torturing people, and it hasn’t made the film any better. I think our testimony would be received with more kindness and understanding today. At least, I hope so.”
L’actrice a pris la parole pour évoquer le tournage difficile de La Vie d’Adèle
S’inscrivant dans le mouvement #MeToo (qui libère la parole des femmes), Léa Seydoux a déjà évoqué la figure de l’effrayant Harvey Weinstein dans le journal The Guardian. Mais elle a aussi confié combien le tournage du film La Vie d’Adèle (2013) avec Adèle Exarchopoulos a été éprouvant pour les deux actrices (primées au Festival de Cannes).
En 2018, dans les colonnes du magazine Elle, la discrète star française expliquait : « Lorsque j’ai dit, il y a cinq ans, qu’Adèle [Exarchopoulos] et moi-même avions été maltraitées sur le tournage de La Vie d’Adèle, des actrices connues m’ont critiquée, et on nous a conseillé de la fermer si nous voulions continuer à travailler. Abdellatif Kechiche a tout de suite déplacé le sujet sur un terrain social : si je me plaignais, c’était parce que j’étais une bourgeoise, une petite fille gâtée… C’est insupportable ! Rien ne justifie qu’on torture des gens, et ça n’est pas ça qui rend le film meilleur. Je pense qu’aujourd’hui notre témoignage, à Adèle et moi, serait reçu avec davantage de bienveillance. Enfin, je l’espère. »
She spoke about the difficult shooting of “Blue is the Warmest Colour”
As part of the #MeToo movement that liberates women’s speech, Léa Seydoux had already mentioned the frightening persona of Harvey Weinstein in The Guardian. But she also shared how trying the shooting of Blue is the Warmest Colour (2013) was both for her and her co-star Adèle Exarchopoulos, who both won the Palme d’Or at the Cannes Film Festival for their respective performances.
In 2018, in the columns of Elle Magazine, the discreet French star explained: “Five years ago, when I said that Adèle [Exarchopoulos] and I had been mistreated on the set of Blue is the Warmest Colour, well-known actresses criticized me and advised us to shut up if we had any hope of having a career in the industry. Abdellatif Kechiche immediately shifted the main issue to make it look like a social class disagreement – if I complained, it was because I was part of the bourgeoisie, because I was a spoiled little girl… It’s unbearable! There’s no justification for torturing people, and it hasn’t made the film any better. I think our testimony would be received with more kindness and understanding today. At least, I hope so.”
L’actrice a pris la parole pour évoquer le tournage difficile de La Vie d’Adèle
S’inscrivant dans le mouvement #MeToo (qui libère la parole des femmes), Léa Seydoux a déjà évoqué la figure de l’effrayant Harvey Weinstein dans le journal The Guardian. Mais elle a aussi confié combien le tournage du film La Vie d’Adèle (2013) avec Adèle Exarchopoulos a été éprouvant pour les deux actrices (primées au Festival de Cannes).
En 2018, dans les colonnes du magazine Elle, la discrète star française expliquait : « Lorsque j’ai dit, il y a cinq ans, qu’Adèle [Exarchopoulos] et moi-même avions été maltraitées sur le tournage de La Vie d’Adèle, des actrices connues m’ont critiquée, et on nous a conseillé de la fermer si nous voulions continuer à travailler. Abdellatif Kechiche a tout de suite déplacé le sujet sur un terrain social : si je me plaignais, c’était parce que j’étais une bourgeoise, une petite fille gâtée… C’est insupportable ! Rien ne justifie qu’on torture des gens, et ça n’est pas ça qui rend le film meilleur. Je pense qu’aujourd’hui notre témoignage, à Adèle et moi, serait reçu avec davantage de bienveillance. Enfin, je l’espère. »
The sublime star of “Dune: Part Two” has a few complexes
In a 2015 interview with Screen Rant, Léa Seydoux shared a surprising confession about her physical appearance. Starring in Bertrand Bonello’s The Beast – out now, after causing a sensation at the Venice Film Festival – and soon to be seen in Denis Villeneuve’s Dune, Part Two (February 28th, 2024) and Quentin Dupieux’s upcoming feature À notre beau métier, Léa Seydoux explained that she was surprised to be asked to play James Bond Girl.
While everyone praises her beauty, enhanced by pretty dark circles, as well as her acting imbued with great ambiguity and mystery, she didn’t feel “femme fatale” enough for that role. “At first, I felt a bit nervous, because I had the impression that maybe I wasn’t beautiful enough or something. But then I realized that it was actually a positive thing. (…) It would be a new film, a new Bond. And that’s why they chose me,” she declared.
The Beast (2024) by Bertrand Bonello, out now. Dune: Part Two (2024) by Denis Villeneuve, starring Léa Seydoux and Timothée Chalamet, coming out on February 28th, 2024.
La sublime star de Dune 2 a quelques complexes
Lors d’un entretien au média Screen Rant, en 2015, Léa Seydoux, que l’on a vue récemment dans La Bête (2024) de Bertrand Bonello et dans Dune, deuxième partie (2024) de Denis Villeneuve faisait une étonnante confession sur son physique.
Alors que tout le monde loue sa beauté (rehaussée par de jolis cernes) et son jeu d’actrice (empreint d’une grande ambiguïté et de beaucoup de mystère), Léa Seydoux expliquait avoir été surprise qu’on fasse appel à elle pour être James Bond Girl. Elle ne se sentait pas assez « femme fatale ». « Au début, avoue-t-elle, je me sentais un peu nerveuse, parce que j’avais l’impression que je n’étais peut-être pas assez belle ou quelque chose comme ça. Et puis j’ai réalisé que c’était plutôt quelque chose de positif. (…) Ce serait un nouveau film, un nouveau Bond. Et c’est pourquoi ils sont venus vers moi. »
The sublime star of “Dune: Part Two” has a few complexes
In a 2015 interview with Screen Rant, Léa Seydoux shared a surprising confession about her physical appearance. Starring in Bertrand Bonello’s The Beast – out now, after causing a sensation at the Venice Film Festival – and soon to be seen in Denis Villeneuve’s Dune, Part Two (February 28th, 2024) and Quentin Dupieux’s upcoming feature À notre beau métier, Léa Seydoux explained that she was surprised to be asked to play James Bond Girl.
While everyone praises her beauty, enhanced by pretty dark circles, as well as her acting imbued with great ambiguity and mystery, she didn’t feel “femme fatale” enough for that role. “At first, I felt a bit nervous, because I had the impression that maybe I wasn’t beautiful enough or something. But then I realized that it was actually a positive thing. (…) It would be a new film, a new Bond. And that’s why they chose me,” she declared.
The Beast (2024) by Bertrand Bonello, out now. Dune: Part Two (2024) by Denis Villeneuve, starring Léa Seydoux and Timothée Chalamet, coming out on February 28th, 2024.
La sublime star de Dune 2 a quelques complexes
Lors d’un entretien au média Screen Rant, en 2015, Léa Seydoux, que l’on a vue récemment dans La Bête (2024) de Bertrand Bonello et dans Dune, deuxième partie (2024) de Denis Villeneuve faisait une étonnante confession sur son physique.
Alors que tout le monde loue sa beauté (rehaussée par de jolis cernes) et son jeu d’actrice (empreint d’une grande ambiguïté et de beaucoup de mystère), Léa Seydoux expliquait avoir été surprise qu’on fasse appel à elle pour être James Bond Girl. Elle ne se sentait pas assez « femme fatale ». « Au début, avoue-t-elle, je me sentais un peu nerveuse, parce que j’avais l’impression que je n’étais peut-être pas assez belle ou quelque chose comme ça. Et puis j’ai réalisé que c’était plutôt quelque chose de positif. (…) Ce serait un nouveau film, un nouveau Bond. Et c’est pourquoi ils sont venus vers moi. »
Léa Seydoux a vécu une très mauvaise expérience au Festival de Cannes
Ce mardi 14 mai 2024, Léa Seydoux – qui sera à l’affiche des prochains films de Luca Guadagnino et de Leos Carax – sera présente sur le tapis rouge de la Croisette pour défendre son nouveau long-métrage, qui fait l’ouverture du Festival de Cannes. Il s’agit du dernier film de Quentin Dupieux, Le Deuxième acte, dans lequel elle joue aux côtés de Raphaël Quenard, Vincent Lindon et Louis Garrel. L’occasion pour elle de revenir, lors de l’émission C à Vous du 6 mai sur une mésaventure cannoise. Cela paraît difficile à croire aujourd’hui mais l’actrice a été zappée par l’équipe du film lors de la fameuse montée des marches, pour la projection du Robin des Bois (2010) de Ridley Scott. Elle explique : “Ils m’avaient oubliée. Toute l’équipe était montée (…) J’étais jeune à l’époque, je ne savais pas, c’était un de mes premiers films. La projection avait commencé et moi j’étais encore sur le tapis.” Cette année, c’est sûr, on ne verra qu’elle…
Le Deuxième acte (2024) de Quentin Dupieux, avec Léa Seydoux et Raphaël Quenard, actuellement au cinéma.